Le vrai coût d’une école privée… et comment le financer

On ne va pas se mentir,  intégrer une école privée, surtout à Paris, ça représente un coût. Et c’est normal de se poser la question. Quand tu sors du lycée ou que tu veux te reconvertir, que tu regardes les tarifs d’un BTS, d’un Bachelor ou d’un Mastère, tu peux avoir un petit choc. “Entre 4 000 et 8 000€ l’année ?!” Oui ! Mais le plus important, c’est de comprendre ce que recouvre ce montant, ce que ça t’apporte vraiment… et surtout, comment tu peux le financer intelligemment, sans t’endetter jusqu’à 40 ans. Chez ITIC Paris, on joue la transparence totale et c’est ce qu’on va faire ici, avec des vrais chiffres et des exemples concrets.

D’abord, pourquoi une école privée coûte plus cher qu’une fac ? Simple : tu paies pour un encadrement individualisé, des promos à taille humaine, des enseignants qui sont aussi des pros du terrain, des programmes mis à jour chaque année, des équipements techniques, des mises en relation avec des entreprises, et un accompagnement vers l’emploi. Ce n’est pas une usine à diplômes. C’est un lieu où tu es connu, suivi, orienté, et souvent intégré en entreprise avant même la fin de tes études. Et ça, en 2025, c’est un investissement qui rapporte : selon l’Apec, un diplômé d’école privée professionnalisante gagne en moyenne 15 à 25% de plus à l’embauche qu’un diplômé d’un cursus général équivalent.

Mais revenons au concret. À ITIC Paris, les frais de scolarité varient entre 4 500 et 7 500€/ an, selon le niveau d’étude et la filière. Dit comme ça, ça peut paraître élevé. Mais dans la majorité des cas, les étudiants ne paient pas ce montant eux-mêmes. Pourquoi ? Parce qu’ils choisissent l’alternance. Et là, c’est tout un autre monde qui s’ouvre : les frais sont entièrement pris en charge par l’entreprise d’accueil, via les OPCO (les organismes qui financent la formation pro). Et en plus, tu es rémunéré chaque mois entre 600€ et 1 500€, en fonction de ton âge et de ton niveau. Résultat : tu gagnes ta vie, tu construis ton CV, tu ne t’endettes pas… et tu ressors avec un diplôme et de l’expérience. Difficile de faire plus malin, non ?

Et si tu n’es pas en alternance ? Il existe d’autres solutions. D’abord, les bourses, qu’elles soient publiques (comme celles du CROUS, accessibles même dans le privé sous conditions) ou internes. ITIC Paris propose, chaque année, des bourses au mérite ou sociales, sur dossier, pour soutenir les étudiants motivés. Ensuite, il y a les facilités de paiement : échelonnement mensuel, trimestriel, sans frais supplémentaires. Certaines banques partenaires offrent aussi des prêts étudiants à taux très réduit, avec un différé de remboursement de deux ou trois ans, ce qui laisse le temps de bosser avant de commencer à rembourser. Et puis, parfois, la famille, l’alternance partielle (stage + job étudiant), ou même les aides régionales peuvent compléter.

Ce qu’il faut retenir, c’est que le coût affiché n’est pas le coût réel. Et surtout que ce que tu investis aujourd’hui, tu le récupères vite si tu joues bien tes cartes. À ITIC Paris, le taux d’insertion professionnelle des diplômés est au-dessus des moyennes nationales. Nos anciens trouvent du travail rapidement, et dans des postes à responsabilités. Et ça, ça change la donne. Tu n’investis pas dans un simple diplôme, tu investis dans un avenir solide, un réseau, des compétences durables.

Alors oui, une école privée a un coût. Mais si elle est bien pensée, bien accompagnée et bien choisie, c’est un coût maîtrisé, intelligent et rentable. Et si tu veux en parler, poser tes questions, venir en discuter avec nous, les portes d’ITIC Paris sont toujours ouvertes.