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2025/05/09

T’as beau être passionné de philo ou d’histoire de l’art (et franchement, c’est super), il faut bien reconnaître une réalité : le secteur qui recrute le plus, celui qui affiche les plus gros salaires d’entrée et qui évolue à une vitesse folle, c’est bien celui de l’informatique, de la cybersécurité et de l’intelligence artificielle. C’est pas juste une tendance, c’est un vrai raz-de-marée. À tel point qu’aujourd’hui, on ne parle plus seulement d’employabilité, on parle de pénurie de talents. Les entreprises cherchent, parfois désespérément, des profils techniques, opérationnels, capables de coder, de sécuriser, d’automatiser, de faire parler les données ou d’optimiser des algorithmes. Et c’est là que les écoles comme ITIC Paris entrent en jeu.

Parce qu’ici, on ne forme pas des théoriciens perchés sur des équations sans fin. On forme des pros, des gens qu’on prépare à bosser pour de vrai, dans des métiers où il faut être à jour, curieux, agile, mais surtout utile dès la sortie du diplôme. Prenons un chiffre : selon France Stratégie, plus de 63 000 postes sont à pourvoir en 2025 dans les métiers du numérique, dont près de 12 000 rien que dans la cybersécurité. Et ce chiffre grimpe chaque trimestre. Pourquoi ? Parce que tout est connecté. Les hôpitaux, les banques, les administrations, les objets qu’on porte, les voitures qu’on conduit… Tout passe par des systèmes numériques, et ces systèmes, il faut les créer, les entretenir, les protéger.

Chez ITIC Paris, on propose des formations en informatique, cybersécurité et IA qui collent aux besoins du terrain. Pas des cours poussiéreux, mais des programmes mis à jour chaque année, avec de la programmation (Python, Java, C++), du DevOps, de l’analyse de vulnérabilité, du pentesting, du machine learning, de la gestion de projet agile, du cloud, de l’éthique de l’IA… Et ce qui fait la différence, c’est que dès la deuxième année, tout peut se faire en alternance. Résultat : tu bosses sur de vrais projets, dans des vraies boîtes, tu développes ton réseau, tu gagnes de l’argent… et tu deviens indispensable.

Un exemple ? En 2025, un diplômé d’un Bachelor cybersécurité à ITIC Paris peut prétendre à un salaire d’entrée de 32 000 à 38 000€ brut par an, et ce chiffre grimpe rapidement après un ou deux ans d’expérience. En IA, les profils même juniors peuvent taper les 45 000€ annuels dès la sortie d’école, surtout s’ils maîtrisent les modèles de langage, le traitement des données massives ou la gestion des risques algorithmiques. Et du côté des développeurs ? Le marché est tellement tendu que certains étudiants se font déjà chasser avant la fin de leur cursus.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que ces métiers ne sont pas réservés aux génies solitaires. Ce sont des métiers collaboratifs, transversaux, et qui touchent à tous les secteurs : santé, sport, finance, culture, environnement, jeux vidéo… Tu peux très bien te former à l’IA et travailler demain pour une ONG qui lutte contre le changement climatique ou pour une start-up qui développe des prothèses connectées. Et c’est ça qui est puissant : avec une bonne formation, tu peux choisir ton impact.

Alors oui, en 2025, se former à l’informatique, à la cybersécurité ou à l’intelligence artificielle, c’est pas juste “avoir un job”. C’est être au cœur de l’économie de demain, être courtisé par les recruteurs, évoluer dans des environnements exigeants mais passionnants… et se donner la possibilité d’agir, vraiment. Et à ITIC Paris, on est là pour ça : pour t’aider à devenir un acteur clé du monde numérique, avec des bases solides, une vision éthique, et un vrai plan de carrière.

Les entreprises recrutent, pivotent, restructurent, cherchent des profils agiles, formés, capables de comprendre à la fois les enjeux économiques, humains et internationaux. Et si t’es étudiant·e ou en reconversion, une question se pose forcément : vers quelle filière aller pour être sûr(e) d’avoir un job rapidement ? Trois secteurs sortent clairement du lot cette année, et bonne nouvelle, ce sont justement trois filières proposées chez ITIC Paris : les ressources humaines, la finance et le commerce international. Trois voies solides, bien ancrées dans la réalité du terrain, et qui ont un point commun : elles mènent à des emplois stables, bien rémunérés, et souvent accessibles dès la sortie du diplôme.

Commençons par les ressources humaines. Longtemps vues comme un département un peu plan-plan chargé de gérer les congés et les fiches de paie, les RH sont aujourd’hui au cœur des enjeux stratégiques des entreprises. En 2025, il faut recruter dans un contexte tendu, fidéliser des talents qui ne veulent plus des modèles d’avant, gérer la QVCT (qualité de vie et conditions de travail), piloter le télétravail, la RSE, les plans de formation, la diversité… Résultat : plus de 85 000 postes RH seront ouverts cette année en France, selon l’Apec, dont une majorité pour des profils Bac+3 ou Bac+5 issus de cursus professionnalisants comme ceux proposés à ITIC Paris. L’alternance y est reine, et les étudiants se placent souvent dès la 2e année sur des postes d’assistant RH, chargé de recrutement ou responsable formation. Et avec les soft skills développés dans les formations à taille humaine, ça matche très vite avec les recruteurs.

Passons à la finance, un secteur qui reste l’un des plus solides du marché malgré les fluctuations économiques. Pourquoi ? Parce que chaque boîte, quelle que soit sa taille, a besoin de quelqu’un pour piloter les chiffres, faire parler les data, prévoir les risques, sécuriser la trésorerie, optimiser les marges. En 2025, la demande explose sur les profils hybrides, à la fois comptables et analystes, gestionnaires et technos, capables de manier Excel, Power BI, voire un peu de Python. Chez ITIC Paris, le Bachelor ou le Mastère en finance forme à ces métiers-là, avec une alternance très recherchée (comptables, contrôleurs de gestion, assistants financiers…), et des perspectives de salaire dès la sortie de 28 000 à 35 000€ brut/an, avec une progression rapide si tu es rigoureux et à l’aise avec les outils digitaux.

Et enfin, il y a le commerce international, qui revient en force. Oui, la mondialisation a changé de visage. Elle est plus régulée, plus responsable, mais elle n’a pas disparu. En 2025, les entreprises françaises cherchent à se développer à l’export, à sourcer à l’international, à piloter des relations multiculturelles, tout en gérant les risques géopolitiques ou logistiques. Résultat : le commerce international recrute à tous les niveaux, surtout dans les PME qui cherchent des profils capables de parler anglais, de comprendre les contrats internationaux, de gérer les chaînes d’approvisionnement ou les stratégies d’implantation. Un diplômé en Bachelor commerce international peut prétendre à des postes de chargé d’affaires export, d’assistant logistique international, ou de business developer Europe, avec une insertion rapide, surtout s’il a profité de l’alternance ou d’un stage à l’étranger. Chez ITIC, on te prépare à tout ça, y compris à gérer les codes culturels pro, la négociation en contexte multiculturel et l’adaptabilité permanente.

En résumé ? Si tu veux trouver ta place rapidement dans le monde du travail, ces trois filières, RH, finance, commerce international, sont des valeurs sûres en 2025.
Et dans une école comme ITIC Paris, à taille humaine, avec des formations en alternance, des intervenants pros et un vrai suivi individualisé, tu mets toutes les chances de ton côté. Ce n’est pas juste une formation, c’est une vraie rampe de lancement vers un avenir concret, stable et évolutif. Et dans un monde qui bouge autant, ça fait une sacrée différence.

Publié le 09/05/2025

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