ICEBREAKING l'art de se connaitre !

Ce n’est pas juste un animateur qui fait jouer les étudiants pour détendre l’atmosphère, c’est bien plus subtil que ça. Il arrive à créer en une heure une dynamique que beaucoup d’écoles mettent des mois à atteindre.

Grâce à ses jeux, sa présence, sa façon d’entraîner tout le monde sans forcer, il installe un climat d’énergie positive, de confiance, de curiosité, qui change littéralement la manière dont la promo va fonctionner pendant toute l’année. On sent immédiatement que les barrières tombent, que les gens osent, que les visages se détendent. En fait, il réussit à faire naître ce sentiment rare d’appartenance avant même que les cours commencent.

Le roi de l’icebreaking fait passer ta rentrée de “stressé.e” à “boosté.e”

Ce qui est fascinant, c’est que son approche repose sur des leviers psychologiques puissants. Quand un groupe se forme, chacun arrive avec ses biais cognitifs…on observe, on juge, on classe inconsciemment les autres, on se raccroche à ce qui nous semble familier. Le biais de similarité fait qu’on va naturellement vers ceux qui nous ressemblent, le biais de confirmation nous pousse à ne voir que ce qui conforte nos premières impressions.

Et tout ça, Olivier le désamorce avec une simplicité déconcertante. Il fait vivre des expériences collectives où tout le monde bouge, rit, coopère, parfois se met un peu en scène, mais toujours dans une ambiance bienveillante. Et c’est là que la magie opère car en un instant, les étudiants cessent de fonctionner en mode “évaluation” pour passer en mode “connexion”.

Un rituel magique qu’on ne veut surtout pas zapper

Ce basculement est crucial, parce qu’il influe directement sur la dynamique d’apprentissage. Un groupe qui démarre dans l’ouverture, la confiance et la bonne humeur, c’est un groupe qui s’écoute, qui collabore, qui ose participer. Olivier, avec sa méthode, crée un “ancrage émotionnel positif” collectif : cette première journée devient une référence commune, un souvenir chaleureux qui continue à colorer les relations des semaines après. Psychologiquement, c’est un reset ! L’anxiété sociale chute, le sentiment de légitimité monte, et tout le monde se sent à sa place. Ce n’est pas un hasard si, depuis qu’il intervient, les promotions semblent plus soudées, plus engagées, plus vivantes.

Alors oui, après cinq ans, on peut le dire sans détour cet icebreaking, c’est bien plus qu’une tradition, c’est un rituel fondateur. Un moment qui crée l’ADN du groupe, qui efface les cloisons mentales avant qu’elles ne s’installent, et qui rappelle une vérité simple : l’humain, avant tout, a besoin de lien pour apprendre, s’épanouir et progresser. Et c’est exactement ce qu’Olivier réussit à provoquer, année après année, avec cette alchimie rare entre jeu, émotion et psychologie.

Franchement, que ce soit dans une école ou dans une entreprise, ce genre de moment est carrément indispensable :)… je recommande !